Augmentation de la devise canadienne : C’est le temps d’importer des voitures et des camions!

AC Schnitzer BMW M3

De 82$ cents américains vendredi dernier à 0.89$ cents américains ce dimanche. Le dollar canadien augmente rapidement et plusieurs économistes s’attendent à le voir redescendre.

Donc, si jamais vous avez l’idée de vouloir acheter un véhicule aux États-Unis vous devez faire vite, ou, prendre la chance de voir notre dollar augmenté pour sauver encore plus, sinon le voir baisser et perdre une occasion de faire de bonnes affaires.

Un bon texte à ce sujet: Le débat sur la force du dollar canadien reprendra-t-il ?

Le taux de change de notre dollar vs le dollar américain est toujours un dilemme pour faire l’achat d’une voiture ou d’un camion en provenance des USA. Mais, présentement je crois que c’est un bon timing avec l’été qui arrive à grands pas, tout en étant opportuniste et savoir profiter de la grave crise financière qui sévit présentement aux États-Unis. Cette crise provoque des dommages collatéraux qui peuvent être plus qu’intéressants pour les acheteurs de voitures canadiens et québécois. Car, les prix tombent, et ce, surtout dans le marché des voitures d’occasion américaines, notre pouvoir d’achat jumelé avec la monté du dollar canadien nous mets en situation de force vis-à-vis le vendeur tout en nous donnant un pouvoir de négociation non négligeable! C’est le temps si vous voulez vous procurer une Corvette, une Audi, une Porsche, Nissan 350z, Lexus ou autre Hummer ou Cadillac Escalade. Le marché est aussi important pour acheter des véhicules de travail comme des pick-up Dodge Ram 1500, Ford F-150 SuperCrew, Toyota Tundra.

Au niveau industriel c’est le temps pour les commençants et transporteurs de renouveler leurs flottes de véhicules et d’équipements et ainsi sauver beaucoup d’argent en utilisant nos services d’importation personnalisé!

Donc, via nos services il est possible d’importer de la machinerie agricole (Planteur et semoir,Batteuse, Équipement pour ensilage, Faucheuse, etc.. ), de la machinerie lourde (Tracteur de van, Tracteur, nacelle, Bulldozers, Excavatrices ou Pelles, Chargeurs & Rétrocaveuses, Grues et autres) et des camions lourds (6,10,12 roues) tels que des Freightliner, GMC, Kenworth, western star, Mack, Peterbilt, International et autres.  Freightliner

Pour avoir plus, d’information, vous pouvez me contacter en utilisant l’espace (me contacter) à gauche. Sinon, vous pouvez me téléphoner au 1-450-252-0352 ou mon cellulaire ((514) 978-7064 entre 16h et 19h à tout les jours. Il est aussi possible de me contacter directement par EMAIL
je me nomme Olivier Lambert

Les voitures au Canada vs les prix aux USA !

Les voitures au Canada vs les prix aux USA !

Auteur: Hugues Gonnot

On ne sera jamais donc content. La fluctuation du dollar canadien et sa bonne santé actuelle rendent les produits que nous achetons plus chers qu’avant. Que ce soit de l’informatique aux DVD en passant, bien sûr, par l’automobile.

2014 Chevrolet Corvette Stingray

Petit rappel des faits
Il y a 5 ans, j’avais écrit un article similaire … mais dans l’autre sens. À cette époque, le dollar canadien pliait sous les coups de butoir de nos voisins du sud et atteignait un plancher historique de 1$ canadien pour 0,62$ US. À ce moment, un phénomène inquiétait de nombreux acteurs du secteur de l’automobile : le marché gris. En effet, la faiblesse du dollar canadien rendait nos voitures très intéressantes pour nos voisins du sud, qui n’hésitaient pas à venir les acheter chez nous. J’avais compilé une liste de 100 modèles équivalent et fait jouer le taux de change (à ce moment 0,63$) pour réaliser que, sur ces 100 modèles, les voitures canadiennes étaient en moyenne 16% moins cher, ce qui représentait un avantage moyen d’environ 7000$ canadiens. Dans certains cas, l’écart atteignait les 30%, soit presque 14 000 $ canadiens. C’est par dizaines de milliers que les voitures avaient pris la direction du sud à cette période.
Petit à petit, le dollar canadien s’est mis à monter, très progressivement. Le phénomène du marché gris s’est tassé de lui-même. Sans grand bruit, on est en train de s’approcher de la parité avec un dollar canadien qui tourne à 0,94 $ US ces jours ci. Problème, le prix des automobiles n’a pas suivi le réajustement.

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Et aujourd’hui?
Je me suis de nouveau livré à un petit exercice similaire à celui d’il y a 5 ans, mais avec une quinzaine de voitures seulement. L’opération est simple : prendre le prix US de modèles similaire (niveau de finition, configuration mécanique, transmission), le convertir en dollars canadiens au taux de change du jour (soit 0,94) et le comparer au prix pratiqué sur notre marché. J’ai choisi ces 15 modèles parce qu’ils couvrent plusieurs segments du marché (du la sous-compacte à la sportive en passant par les berlines de luxe) et plusieurs marques différentes avec une petite préférence pour des modèles qui se vendent bien. Le choix n’est pas exhaustif mais, comme nous allons le voir, il est déjà significatif.

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L’écart va de presque 14% à plus de 30% avec une moyenne qui s’établit autour de 24%. Oui, nous paierions en moyenne nos voitures quelques 24% plus chers qu’aux États-Unis!
Bien sûr, à 0,94$, on reste dans un cas de figure poussé dans le sens que cette valeur est un plafond historique depuis de très nombreuses années. En analysant la tendance, le dollar canadien s’est établit à une moyenne d’environ 0,88$ au cours de la dernière année. En refaisant la même simulation, on arrive à un écart moyen de 16%.

Réajuster
C’est le mot clé. Il semblerait que les constructeurs aient « oublié » de réajuster leurs prix. Eux qui tiraient la langue il y a 5 ans avec des prix artificiellement bas pour s’adapter à l’économie se portent aujourd’hui nettement mieux avec des prix artificiellement hauts.
Bien sûr, fixer le prix d’une voiture ne dépend pas uniquement du taux de change. Des dizaines de facteurs entrent en ligne de compte, dont la forme de l’économie locale et les prix qui y sont pratiqués (salaires, prix des services…). Il n’empêche que, comme pour les prix de l’essence, les répercutions à la hausse se font beaucoup plus rapidement qu’à la baisse. Et la montée du dollar canadien n’a rien eu de fulgurante. Il va falloir sérieusement que les constructeurs réévaluent leurs barèmes. Y a-t-il un risque que des canadiens aillent aux États-Unis en masse pour acheter leurs voitures et que l’on assiste à un marché gris inversé? Pas sûr… Les douaniers américains sont si charmants…