Catégorie dans Actualité automobile

Un groupe facebook pour Quebec USA Import

le réseau social Facebook est un bonne façon de faire des contacts avec des anciens ami(e)s, des anciens conjoins(tes), nos premières blondes et chums, des ami(e)s d’école. ou tout simplement trouver des gens qui ont les mêmes intérêts que nous!

Pour les utilisateurs de ce réseau j’ai créer un groupe ou vous pouvez me joindre directement et demander vos questions sur importation de voiture des États-Unis. Pour ceux qui ont déjà utiliser nos services d’importation vous pouvez poster des photo de votre voiture sur le groupe 🙂
vous pouvez joindre le groupe en cliquant sur ce lien
Goupe facebook Quebec USA Import

n’oubliez surtout pas qu’avec la crise financière qui sévi présentement aux USA le prix des véhicule va fortement baisser dans les prochaines semaine et prochain mois et que l’offre va surement exploser!! de ce fait il y aura de bonnes occasions pour aller chercher des véhicules de seconde mains aux États-Unis! jumelé a notre dollars canadien fort je crois que le marcher de l’importation des voitures américaines vers le Canada va bondir! c’est a surveiller! je vous tiens au courant 🙂

Audi R8 V12 TDI Le Mans permettons nous de rêver un peut :p

Importation de voitures américaines au Québec

Importation de voitures américaines au Québec

Bonjours!

Si vous atterrissez sur ce blogue en utilisant Google, c’est que vous êtes certainement à la recherche d’un deal pour une voiture importée des États-Unis, sinon vous avez trouvé une voiture sur ebay et vous vous demandez comment l’importer au Québec!

Chez Amerxport nous nous occupons de tout ce qui est importation de véhicules de A à Z, nous nous spécialisons dans les forfaits clef en main, c’est-à-dire que nous trouvons le véhicule pour vous tous en respectant les spécifications du véhicule que vous nous avez demandé, et ce, tout en gardant à vue votre budget!

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Si vous avez trouver un véhicule sur ebay et que vous avez besoin d’aide nous pouvons nous occuper de toute les transactions pour vous : nous allons prendre contact avec le vendeur nous allons effectuer la transaction, nous allons faire transporter la voiture jusqu’à la douane, nous allons passer le véhicule à la douane avec toutes les fiches de titre et de rappel (on s’occupe de toute la paperasse aussi) après nous allons transporter le véhicule à St-Hyacinthe pour l’inspection et les modifications à faire s’il y a lieu!

la procédure prend environ 2 à 3 semaines et le véhicule est livré clef en main, légal et plaqué à votre nom au Québec 🙂

Donc si vous êtes intéressé à transiger avec nous, il est possible nous contacter pour discuter de votre prochaine voiture.

Vous pouvez me joindre tous les jours entre 16h00 et 19h00 au 1-450-252-0352 ou mon cellulaire ((514) 978-7064 je me nomme Olivier

PS: Ils est possible que nous puissions importé des camions, remorques, bateaux, véhicules récréatifs, wanabago, etc. informez-vous !

Véhicules neufs : 20% plus cher au Canada

Véhicules neufs : 20% plus cher au Canada

Malgré la force du dollar canadien depuis un an, rien n’y fait. Les véhicules neufs continuent de se vendre ici 20 % plus cher qu’aux États-Unis.

Une recherche du Soleil démontre d’ailleurs que les écarts de prix sont demeurés importants ces derniers mois. En moyenne, les consommateurs canadiens et québécois ont payé 20 % de plus que leurs vis-à-vis américains depuis le début de 2008 pour une voiture neuve.

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Sur les camions, les véhicules dits sports utilitaires (SUV) et les voitures plus luxueuses, les écarts de prix peuvent même parfois atteindre 40 %.

«C’est inacceptable», lance Geor­ge Iny de l’Association pour la protection des automobilistes (APA). Selon ce dernier, les rabais offerts ces temps-ci aux consommateurs américains n’ont rien à voir avec ceux proposés de ce côté-ci de la frontière.

«Et venez surtout pas me dire que les constructeurs n’ont pas eu le temps de s’ajuster au dollar canadien. S’ils ne bougent pas, c’est parce que c’est très payant pour eux», jure M. Iny.

Hier, par exemple, un concessionnaire Toyota américain de Plattsburgh écoulait ses Camry LE à 20 829 $US. À Québec, la même voiture se vendait 24 755 $ CAN. La Solara se vendait 42 000 $ CAN contre 34 000 $US dans le Vermont.

Chez Nissan, le Rogue se vendait 30 % plus cher ici. Idem pour la Rabbit chez Volkswagen et le F-150 chez Ford.

Le constructeur plus près de la parité ? GM semblait sur la bonne voie hier avec ses modèles Cobalt et Equinox.

Le CAA-Québec n’en revient toujours pas des différences mar­quées des prix. «Ce n’est vraiment pas normal», soutient la porte-parole de l’organisme Ro­xan­ne Héroux.

En plus de noter des écarts de prix importants, le CAA-Québec a cons­taté que les frais de transport et de préparation imposés par les cons­tructeurs au Canada étaient exorbitants. On parle de frais supplémentaires variant entre 30 et 60 %.

Par exemple, dans le cas d’une Subaru Outback construite au Japon, les frais imposés ici sont de 1495 $ contre 645 $ aux États-Unis, soit un écart de 57 %.

Chez Option consommateurs, on suit le dossier de près. «Les excuses des constructeurs ne tiennent plus la route, dit le directeur général Michel Arnold. Cela prou­ve surtout que quelque chose ne fonctionne pas.»

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Recours collectif

Signe des temps, un recours collectif de 2 milliards $ a été déposé l’an dernier en Ontario contre GM, Honda, Nissan et Chrysler ainsi que la Corporation des associations de détaillants d’automobiles (CADA) du Canada.

Les plaignants soutiennent que les constructeurs visés ont conspi­ré pour vendre plus cher au Canada des véhicules neufs, question de diminuer l’attrait d’aller magasiner aux États-Unis.

Ils avancent que les constructeurs ont convenu de ne pas honorer les garanties des véhicules achetées de l’autre côté de la frontière, privant ainsi les Canadiens de rabais variant entre 25 et 35 %.

Possible d’acheter aux États-Unis

Acheter un véhicule neuf aux États-Unis n’est pas de tout repos. Surtout depuis que les constructeurs ont donné la con­signe à leurs concessionnaires de ne pas vendre à des Canadiens. Et les règles de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA)? «Les constructeurs utilisent l’ALENA quand cela fait leur affaire», constate George Iny de l’APA. Par contre, il est beaucoup plus facile de passer par un concessionnaire importateur. L’en­treprise Mystique Ventures de Moncton, au Nouveau-Brunswick, se spécialise dans ce genre de transactions. «Tout est légal», assure le propriétaire de l’entreprise. En moins de deux, on peut y acheter n’importe quel véhicule neuf importé des États-Unis. En quelques jours, la voiture est livrée dans votre cour. Les rabais varient selon le modèle choisi, entre 4000 $ et 20 000 $. Les garanties? Elles sont pour la plupart honorées par les constructeurs au Canada. George Iny croit qu’il y a de bonnes affaires à réaliser. «Les gens doivent cesser d’avoir peur. On peut acheter un véhicule aux États-Unis. Ce n’est pas un crime!»

Pierre Couture

Le Soleil

Au tour des concessionnaires de se tourner vers les É.-U.

Après les consommateurs s’étant précipités aux États-Unis pour acheter et importer des véhicules neufs en profitant du taux de change à leur avantage et des prix plus bas, voilà qu’un phénomène semblable touche maintenant les vendeurs de véhicules usagés, certains concessionnaires de la région de Sherbrooke n’hésitant pas à s’embarquer dans ce marché, qui pourrait toutefois être éphémère.

À Sherbrooke, des concessionnaires du Groupe Beaucage ainsi que les garages Val Estrie Ford et Toyota ont tâté cette avenue ces derniers mois pour regarnir leurs parcs de voitures usagées.

Plusieurs vendeurs de voitures usagées de Sherbrooke et la région ont aussi opté pour cette façon de faire dans la vente d’automobiles, mais cette politique, tout à fait légale, est devenue délicate également, seuls les véritables initiés réussissant à bien tirer leur épingle du jeu.

Précisons que parmi tous les concessionnaires et garagistes interrogés, tous parlaient de véhicules n’ayant jamais été accidentés.

Succès mitigé

Daniel Beaucage, du Groupe Beaucage, indique que quelques-uns des garages du Groupe ont acheté une trentaine de véhicules usagés aux États-Unis l’an dernier pour les vendre à Sherbrooke et dans la région.

«Dans certains cas, on a obtenu un succès, mais dans d’autres, le succès a été mitigé, notre Groupe a décidé de mettre fin à cette expérience qui n’a finalement duré que quelques mois», dit M. Beaucage.

Pourquoi?

«Parce que les Américains subissent le même phénomène des prix de l’essence que nous. Les petites voitures économes se vendent plus chères, et parfois encore plus qu’ici, tandis que les véhicules à consommation élevée ne trouvent pas plus preneurs ici, même à des prix plus bas; de plus, il faut tenir compte du coût des démarches pour l’importation, incluant la taxe de 6,1 pour cent pour les véhicules n’ayant pas été fabriqués en Amérique du Nord.»

Chez Val Estrie Ford, André Dionne indique qu’on a aussi tenté cette expérience, depuis un an, d’acheter des véhicules usagés aux États-Unis pour les revendre à Sherbrooke.

«Mais on ne peut pas dire que l’expérience est un succès», s’empresse-t-il de commenter.

Selon lui, le marché devient intéressant quand on parle de modèles de haute gamme qu’on a peine à vendre aux États-Unis.

Chez Sherbrooke Toyota, Michel Rousseau indique que son garage a acheté une dizaine de véhicules usagés sur le marché américain depuis six mois.

«C’est un marché qui tourne; il y a quelques années, les Américains venaient au Québec pour y acheter des voitures usagées. Mais avec la fluctuation du taux de change en notre faveur, c’est le contraire qui se produit et, très souvent, on retrouve des véhicules en meilleures conditions sur le marché américain, surtout lorsqu’elles proviennent des régions du sud.»

Selon M. Rousseau, les Québécois craignent souvent d’acheter un véhicule de provenance américaine parce qu’il fut un temps où le Québec importait des véhicules accidentés des États-Unis et que les garagistes «remontaient» avec des résultats parfois douteux.

«Mais quand on est concessionnaire, on est en mesure de faire inspecter rigoureusement les véhicules et d’obtenir leur historique complet pour s’assurer que rien n’a été modifié, comme l’odomètre, et qu’il n’a jamais été accidenté. Pas question d’acheter accidenté», dit M. Rousseau.

Sa fille, Danielle Rousseau, directrice des ventes, précise que ce marché risque de s’effriter assez rapidement puisque depuis septembre dernier, certains modèles Toyota ne peuvent être importés des États-Unis s’ils ne sont pas munis d’une clé d’ignition à puce.

La Tribune

Statistique d’importation de véhicule au Canada

Selon Cars Without Borders
Plus de 150 000 véhicule américain ont été importé au canada dans la première partie de l’année 2008! c’est le double de l’an passé à la même période! avec une chiffre de 64 000 véhicule.
importation de véhicule statistique

Plus précisément 47% de plus de citoyen canadien ont franchis le pas et ont importé un véhicule par eux même! ce qui représente une économie conservatrice de 35oM$ le 44% restant ont utiliser les services de courtier comme le notre pour leur facilité la vie et accélérer le processus!

Nous nous attendons que les statistique explose dans la deuxième partie de l’année quand la nouvelle harmonisation des pare-choc sera effectif ! de plus en plus de vendeur de voiture devinent respectueux et gentil avec les consommateurs canadiens!

Ces chiffre incluent les motos, les Tout-terrains, les motoneiges et les remorques mais ça ne représente que 2 à3% des achats!

Toujours selon Cars Without Borders qui ont contacter le RIV cette semaine la liste serais prête pour cette fin de semaine ou au plus tard en début de semaine prochaine. la nouvelle liste qui inclura les nouveau véhicule qui seront disponible grâce au changement de règlements
à peut prêt tout les véhicule qui étaient illégal au canada deviendraient légal incluant de nouveau manufacturier!!

Ford Mustang 1967 Shelby Eleonor sur ebay! (partie en 60 secondes)

La Ford Mustang 1967 Shelby Eleonor original qui a servie a faire le film Partie en 60 secondes est présentement en vente sur ebay!

Gone in Sixty Seconds

l’encan se termine le 4 juillet. La voiture est en fait l’une de trois exemples encore vivante de la mustang 1967 Shelby GT500s créé pour le film.
les 8 autres n’était que des carrosserie sans mécanique et les 2 autres ont été détruite pendant le tournage du film. Cette voiture particulière a 38.614 milles sur l’odomètre et est actuellement stockée à Houston, au Texas. Selon son vendeur, aucune des deux Eleanors du film n’était semblable parce que les voitures requises devaient être installé différemment pour faire différentes manœuvres pour le pelliculage du film.
Ford Mustang 1967 Shelby Eleonor

Vous pouvez participer a cette encan et nous pouvons l’importer pour vous bien entendue au besoin! 🙂
visiter ce lien Ebay

Modification importante à la loi sur l’importation de véhicule! Evolution IX, GTO, MKIV R32

Modification importante à la loi sur l’importation de véhicule! Evolution IX, GTO, MKIV R32

Pontiac GTO 2006
Pontiac GTO 2006

Règlement modifiant le Règlement sur la sécurité des véhicules automobiles (pare-chocs) avec cette modification à la loi ça va donner plus de chance aux importateurs et une plus grande variété de véhicules à offrir.

Le RIV travail présentement sur une nouvelle liste de véhicule admissible au Canada. Une 30e de nouveaux modèles seront disponibles selon les rumeurs. Nous parlons de Mitsubishi Lancer Evolution IX, de Pontiac GTO, de Volkswagen MKIV R32 et plusieurs autres qui étaient au par avant inadmissible à cause des parechocs qui n’étaient pas modifiables pour les mettre conforme aux lois canadiennes. Vous pouvez avoir tous les détails a ce sujet en visitant la Gazette du Canada

Je crois que tout le monde est sur les dents et attend impatiemment la nouvelle liste du RIV

 Mitsubishi Lancer Evolution IX

Mitsubishi Lancer Evolution IX

Voici la note sur la page d’accueil du RIV
Le gouvernement du Canada a harmonisé la norme sur les pare-chocs
Le gouvernement du Canada a apporté une modification au Règlement sur la sécurité des véhicules automobiles (RSVA) afin d’harmoniser la norme canadienne sur les pare-chocs des voitures automobiles avec les normes de sécurité similaires des États-Unis et de l’Europe.

Whoa l’adrénaline commence a monté 🙂

volkswagen MKIV R32

volkswagen MKIV R32

Ps: Merci à la gang de cars without borders pour leur excellent travail dans cette histoire

Problème de ligne téléphonique

Depuis 2 semaines j’ai des problème avec ma ligne téléphonique. Quand j’utilise mon sans file j’entends la radio quand je me déplace dans la maison!! aussi ma boite a message était tout mélanger dès lors ce problème est régler en partie (au moins la boite vocal) mais ouf je dois la vider et prendre tout les messages que je vais répondre durant les prochains jours j’ai plus de 30 message à prendre!
donc ne vous inquiété pas je vais vous contacter très bientôt afin de vous aider dans l’importation de votre véhicule des États-Unis
vous pouvez toujours me contacter tout les jours ou presque!
je me nomme Jean François au 418-524 -4195

Acheter sa voiture aux États-Unis, une économie!

bonjours.
comme vous savez déjà chez Québec USA Import nous nous spécialisons dans l’importation de véhicule américain au Québec sur demande!
nous pouvons vous procurer le véhicule de votre choix et ce en vous faisant économiser de l’argent
ne vous gêner pas pour me contacter pour avoir plus de renseignement
Olivier Lambertau : 1-450-252-0352 ou cellulaire ((514) 978-7064 (toujours entre 16h00 et 19h00 c’est plus simple me rejoindre à ce moment la) ou vous pouvez la forme a votre gauche en haut de chaque page de mon blogue en envoyant votre nom numéro de téléphone ou votre courrier électronique (à votre choix) ainsi qu’une brève description du véhicule que vous rechercher.

voici un petit reportage intéressant diffusé dans le cadre de l’émission caféine à TQS

Le chroniqueur socio-économique, Martin Pelletier, parle du coût des voitures, qui est jusqu’à 37 % moins cher aux États-Unis.
voici une video que j’ai trouvé sur le site de TQS
http://www.youtube.com/watch?v=QO4M4ojvznA

Conseils pour acheter une auto aux États-Unis

Il faut remonter à 31 ans, à l’année des Jeux olympiques de Montréal, pour retrouver un dollar canadien à un niveau aussi élevé par rapport au dollar américain. Inutile donc de dire qu’acheter sa voiture chez nos voisins du Sud peut être avantageux.

Aux États-Unis, les propriétaires de sites Internet liés à l’automobile se sont donné de fantastiques moyens pour toucher la clientèle depuis déjà longtemps. Pour autant, avant de faire un achat de l’autre côté de la frontière, mieux vaut consulter au préalable quelques sites Internet qui vous permettront de mieux connaître votre futur véhicule avant de vous décider définitivement, notamment si vous jetez votre dévolu sur une voiture d’occasion. Investissez un peu de temps (et d’argent) dans un site web comme carproof.com, qui moyennant une cinquantaine de dollars vous donnera un historique complet de votre auto américaine.

Si Internet n’a pas de frontières, les barrières douanières existent, elles, et vous aurez le désagrément de rencontrer moult taxes et formalités administratives si vous achetez votre Rolls ou votre Yaris chez nos voisins du Sud. Avant de jeter votre dévolu sur un modèle, n’oubliez pas de consulter le Registraire des véhicules importés. Ce site canadien, en français s’il-vous-plaît, vous livrera la liste des véhicules autorisés et de ceux qui sont inadmissibles à l’importation au Canada depuis plusieurs décennies. Par exemple, plusieurs modèles de Ferrari des années 1992 à 2006 sont interdits à l’importation. Gênant, n’est-ce pas?

Si vous recherchez l’exotisme, ne vous avisez pas d’acheter une Fiat ou une Peugeot aux USA, vous ne pourrez pas l’importer au Canada. La liste du Registraire des véhicules importés comporte plus d’une vingtaine de pages sur ce qui est permis et interdit chez nous. Mais surtout, toutes les étapes nécessaires à l’importation d’une voiture depuis les États-Unis ainsi que ses coûts afférents n’auront plus de secrets pour vous. Rendez vous dans la rubrique «Notre façon de procéder» du site. vous pouvez aussi me contacter pour plus d’information

Adresses de 23 000 concessionnaires

Le réseau des réseaux est un formidable outil pour obtenir des prix, des cotations et faire des comparaisons avec le Canada. Le site Internet Car Dealer USÀ recense, État par État, la plupart des concessionnaires du pays avec leurs adresses. Vous en trouverez ainsi plus de 23 000, mais également de nombreux sites web. Car Dealer USÀ est un site incontournable, car souvent les sites américains vous demanderont un code postal pour la ville où vous souhaitez effectuer votre achat.

Ce code postal, vous l’obtiendrez sur Car Dealer USA. Tous les sites Internet sur l’automobile que vous verrez sur cet annuaire s’auto-congratulent et se décernent la médaille du plus grand ou du meilleur site automobile des États-Unis. Il existe cependant quelques sites web qui méritent ce titre plus que les autres et qui ont pignon sur rue depuis des années. C’est le cas d’Edmunds.com, d’autobytel.com ou encore de gmbuypower.com. C’est aussi le cas de carprices.com. Le site Autos MSN est particulièrement bien réalisé et fournit de nombreuses informations techniques et pratiques par rapport à ses concurrents.

Si gmbuypower.com ou autobytel.com vous donnent très vite un prix, beaucoup de sites américains vous renvoient vers un formulaire. Ces sites vous demanderont souvent de nombreux renseignements personnels pour établir un devis. Privilégiez les sites qui ne sont pas trop curieux! Enfin, n’oubliez pas que si le réseau des réseaux est un merveilleux outil, rien ne vaut un petit tour chez le concessionnaire, ne serait-ce que pour négocier le prix!

Ludovic Hirtzmann – Collaboration spéciale – La Presse

Les Européens rachètent les autos soldées des Américains

L’importation depuis les Etats-Unis permet des gains de 30% sur les marques européennes haut de gamme.

Le Temps
Vendredi 13 juin 2008

Toujours plus d’acheteurs européens profitent de la faiblesse du dollar pour importer des voitures neuves ou d’occasion depuis les Etats-Unis.

En comptant les frais de transport, d’homologation et les taxes, «l’importation directe permet d’économiser 20 à 30% sur le prix catalogue», explique Patrick Guldin, directeur de la société T-Car à Echallens, un des importateurs spécialisés dans ce créneau.

L’importation depuis les Etats-Unis s’avère particulièrement intéressante pour des marques européennes haut de gamme comme BMW (BMW.XE), Mercedes et Audi.

Le gain réalisé grâce au dollar s’ajoute à la «grande disponibilité de véhicules aux Etats-Unis», explique Patrick Guldin.

Les tarifs des constructeurs européens s’avèrent nettement plus attractifs sur le marché américain, très concurrentiel, et où les ventes de voitures de luxe sont en net recul. Une Porsche Boxter S vendue 46000 dollars (48000 francs) aux Etats-Unis s’affiche à un premier prix de 82000 francs en Suisse. Les constructeurs européens interdisent à leurs franchisés américains de vendre des voitures à l’étranger, ce qui oblige les acheteurs en Europe à faire appel à des sociétés spécialisées comme T-Car, qui restent discrètes sur l’identité de leurs intermédiaires sur place.

L’importation depuis les Etats-Unis de voitures européennes d’occasion connaît également un succès grandissant. Le site AutoImportUSA.com, créé par des Français à Washington, fait transporter chaque mois une trentaine de Porsche et de BMW vers la Belgique et la France. Les Canadiens de AutoExport.com, un site d’enchères réservé aux voitures d’occasion, exportent aujourd’hui 2000 véhicules par année contre 500 il y a deux ans. La société allemande Kalkofen Gbr reçoit chaque année 3000 véhicules importés des Etats-Unis pour les adapter aux normes européennes. Sur ce nombre, 40% sont de marque européenne.

Le ralentissement de la conjoncture aux Etats-Unis permet également aux acheteurs européens de se procurer des marques américaines à bas prix. Selon Patrick Guldin, ces constructeurs se retrouvent aujourd’hui avec «des stocks très importants sur les bras», et sont incités à casser les prix pour les écouler en Europe.

Le garage genevois Grimm, importateur officiel des marques américaines, solde l’ensemble de ses modèles Cadillac, Chevrolet ou la nouvelle Ford Mustang «Bullit», avec des réductions de 20% sur le prix catalogue.

LA MONUMENTALE FARCE DES FRAIS DE LIVRAISON

Voici un excellents texte de jaque duval que j’ai trouve ren naviguant sur son Blogue! (Le blogue de Jacques Duval)

Donc voici le texte
LA MONUMENTALE FARCE DES FRAIS DE LIVRAISON
March 17th, 2008

Existe-t-il un autre objet fabriqué en usine où l’on oblige l’acheteur à assumer lui-même les frais d’inspection avant livraison, traduction plus ou moins boiteuse de ce que nos voisins de Plattsburgh appellent le PDI (« pre-delivery inspection ») ?
Je pense qu’il n’existe pas pire insulte que de dire à un consommateur qui fait confiance à une marque… « OK, mon ami, mais comme nous ne sommes pas certains que la voiture que vous convoitez n’est pas bourrée de défauts, de problèmes latents ou même de pièces manquantes, conséquemment nous aimerions que vous déboursiez 1500 $ (montant variable) pour que nous puissions compléter notre travail».
Serait-ce trop vous demander, messieurs les constructeurs, de finir le travail à l’usine, de l’emballer dans un protecteur quelconque et d’expédier l’automobile à vos concessionnaires? Ce sont là à mon avis des frais cachés ajoutés à la facture dans le simple but de gonfler le profit du concessionnaire, car personne n’ose demander un rabais sur les frais de préparation, craignant de se faire livrer un citron.
Si au moins, les concessionnaires procédaient aux quelque 70 opérations qui doivent apparaître sur cette fameuse liste d’inspection d’avant livraison. Certains sont sans doute honnêtes, mais sachez qu’il y en a d’autres dont le travail se limite à un lavage et époussetage de la voiture.
Je considère que cette histoire de frais de préparation est une farce qui a assez duré et que les consommateurs doivent désormais refuser de payer ce supplément inutile. Quand on achète une Toyota au lieu d’une Chrysler, c’est en partie parce que l’on croit que l’auto est mieux construite et que tout sera fonctionnel dès le premier jour. Alors, pourquoi aurait-on à payer davantage que le prix de vente suggéré en y ajoutant de tels frais?
Comme j’ai un fort penchant pour la croisade, que diriez-vous d’un autre petit boycottage?
À moins que vous ayez de solides arguments de défense!

source

CAA-Québec : Achat d’un véhicule aux États-Unis

CAA-Québec : Achat d’un véhicule aux États-Unis

bonjours
merci de visiter mon blogue automobile
ce blogue est remplie d’information pertinente concernant l’importation d’un véhicule des états-unis! ci jamais vous êtes intéressé d’importer une voiture des USA vous pouvez me contacter pour vous informer sur nos tarif et les services que nous vous offrons!

en fait nous fournissons un service complet de courtage en importation: de la simple recherche de véhicules à la livraison clef en main de votre véhicule.
Avec les informations que je vous fournie sur mon blogue vous pouvez croire que je me tire une balle dans les pieds en vous fournissant de l’information sur tout les détails pour importer une voiture par vous même!, mais en fait c’est plutôt le contraire car les gens qui lisent s’aperçoivent rapidement que c’est un processus long et complexe. faire affaire avec un service de courtage reviens quasiment au même prix que ci vous le faite par vous même et de plus nous avons ZÉRO marge d’erreur!! pas besoin de vous casser la tête, pas besoin de prendre de congé , prendre des taxi, courir un peut partout aux USA, avoir le stress de passer aux douanes etc,..
ça c’est notre rôle!!

vous pouvez me contacter pour avoir plus d’information.
Olivier Lambert
1-450-252-0352 ou mon cellulaire ((514) 978-7064
les meilleurs heures pour me joindre à tout les jours de 16h00 à 19h00
ou tout simplement par email
darkskys@videotron.ca
ou en utilisant la contact form

voici un texte très intéressant publier sur le site CAA-Québec

Achat d’un véhicule aux États-Unis

De plus en plus de consommateurs songent à acquérir un véhicule aux États-Unis, notamment en raison de la vigueur du dollar canadien par rapport à la devise américaine. Il est vrai que dans certains cas, l’opération peut s’avérer avantageuse. Toutefois, de nombreux aspects sont à prendre à considération avant de tenter l’aventure; une fois bien informé de ce qui l’attend, le consommateur avisé aura toutes les chances de s’en sortir gagnant.

Les premières vérifications

Une des premières étapes de toute l’opération est de consulter la Liste des véhicules admissibles des États-Unis, disponible sur le site Internet du Registraire des véhicules importés (RVI) et publiée par Transports Canada. Le consommateur obtiendra ainsi l’information relative à l’importation et pourra s’assurer que le véhicule convoité répond bien aux normes canadiennes. Pour plus de détails sur le RVI, on peut visiter le www.riv.ca ou composer le 1 888 848-8240.

On recommande également de vérifier l’application de la garantie pour le véhicule : sera-t-elle valide une fois le véhicule importé au Canada? Quelles en seront les modalités? Il peut s’avérer prudent d’exiger une confirmation écrite de la validité de la garantie. Enfin, il faut aviser son assureur avant d’aller chercher le véhicule pour éviter toute mauvaise surprise!

À noter

Il peut arriver que le véhicule acheté ne réponde pas à toutes les normes de sécurité canadiennes. Dans ce cas, l’acheteur devra faire réaliser les modifications requises dans les 45 jours suivant l’achat.

Avant d’entrer au Canada
Avant de pouvoir exporter la voiture vers le Canada, il est obligatoire d’en aviser les douaniers américains au moins 72 heures à l’avance en leur faisant parvenir les papiers relatifs à la transaction d’achat. Pour plus de détails, consultez le www.customs.gov. Certains documents doivent également être présentés aux douaniers une fois sur place : l’enregistrement du véhicule, les reçus de vente et, condition essentielle, une attestation confirmant l’absence de rappel pour le véhicule en question, qui peut être produite par le concessionnaire ou le constructeur d’origine.

Enfin, au poste frontalier canadien, le Formulaire d’importation de véhicule – Formulaire 1 – devra être complété par l’acheteur, et ce, afin de vérifier si le véhicule est effectivement admissible à l’importation. Une inspection du véhicule devra également être réalisée au Canada pour attester de l’admissibilité du véhicule.

À noter

Aux États-Unis, il est obligatoire de répondre à un rappel de véhicule de la part du constructeur, contrairement au Canada. Le fait d’ignorer un rappel sur la voiture pourrait affecter la garantie et la valeur de revente du véhicule.

De retour au pays – les inspections
Une fois le véhicule importé, une inspection obligatoire de conformité devra être effectuée dans un réseau d’inspection fédéral. Les magasins Canadian Tire sont habilités à procéder à cette inspection, pour laquelle des frais d’une centaine de dollars s’appliquent.

En outre, dans le cas d’un véhicule d’occasion, une inspection provinciale par un mandataire de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) est également requise. Cette exigence s’applique pour tout véhicule immatriculé à l’extérieur de la province. Quelques-uns des centres de vérification technique de CAA-Québec sont mandatés par la SAAQ pour procéder à cette inspection et, ici aussi, les coûts sont d’une centaine de dollars.

Si des modifications sont nécessaires, un délai de 45 jours est alloué. Par ailleurs, tous les frais liés à la mise aux normes doivent être assumés par l’acheteur. Plusieurs non-conformités peuvent mener à une obligation de modification :

*
feux de circulation de jour,
*
ensemble intégré de retenue d’enfant,
*
ancrage de sangle de siège d’auto pour enfant,
*
pare-chocs 8 km/h,
*
appuis-tête…

À noter

Lorsqu’on achète un véhicule aux États-Unis, on ne peut se prévaloir du Programme d’arbitrage pour les véhicules automobiles du Canada (PAVAC). Le PAVAC permet de régler des litiges liés à l’application de la garantie ou en cas de vice de fabrication. Plus de détails au www.camvap.ca.

Frais à prévoir
En plus du coût d’achat du véhicule aux États-Unis, d’autres frais s’ajoutent à la facture:

*
un montant de 224 $ (au Québec) ou de 209 $ (ailleurs au Canada) pour acquitter les frais d’admissibilité à l’Agence des douanes. Ce montant doit être acquitté par carte de crédit lors du passage à la douane. On s’informe auprès de l’Agence des services frontaliers du Canada en composant le 1 800 959-2036 ou en visitant le www.cbsa-astc.gc.ca;
*
la TPS lors du passage aux douanes canadiennes;
*
la TVQ lors de l’immatriculation au Québec;
*
les droits de douanes de 6,1 % si le véhicule n’a pas été construit en Amérique du Nord;
*
les taxes sur le climatiseur (100 $) et sur les grosses cylindrées (de 1 000$ à 4 000 $);
*
les taxes d’État, si elles sont applicables. En effet, des exemptions existent pour les acheteurs étrangers, notamment dans l’État de New York.

À noter

Sans adresse ni compte bancaire aux États-Unis, il peut être difficile d’y obtenir un financement. C’est pourquoi l’achat devra sans doute s’effectuer au comptant… et qu’à la liste des coûts additionnels à prévoir, il faudra ajouter les coûts liés au financement d’un prêt personnel par une institution québécoise.

—–

Il est essentiel de conserver précieusement toutes les factures et les documents officiels liés à chacune des étapes de la transaction, et ce, durant toute la période où l’acheteur demeure propriétaire du véhicule.

Quelques exemples concrets – véhicules 2008
Exemple 1

Subaru Impreza 2,5 i 4 portes de base – fabrication japonaise

Prix de base : 20 695 $ CA / 17 995 $ US

Le prix en argent américain comprend la taxe de 6,1 % applicable, soit 1 000 $ en droits de douanes pour les véhicules fabriqués à l’extérieur de l’Amérique du Nord.

Différence nette de 2 700 $*

* Excluant les frais de transport et de préparation, la TVQ, la TPS ainsi que la taxe d’État, si applicable. Prix basés sur un dollar au pair.

Exemple 2

Ford Focus 4 portes manuelle – fabrication américaine

Prix de base : 15 999 $ CA / 14 075 $ US

Différence nette de 1 924 $*

* Excluant les frais de transport et de préparation, la TVQ, la TPS ainsi que la taxe d’État, si applicable. Prix basés sur un dollar au pair.

Exemple 3

Ford Explorer XLT 4 portes, 4WD, 4 litres – fabrication américaine

Prix de base : 41 399 $ CA / 28 050 $ US

Différence nette de 13 349 $*

* Excluant les frais de transport et de préparation, la TVQ, la TPS ainsi que la taxe d’État, si applicable. Prix basés sur un dollar au pair.

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